Trisomie 21 et Intégration

          Afin de répondre à notre problématique, nous avons abordé différents aspects de la Trisomie 21. En effet, dans un premier temps nous nous sommes focalisés sur sa partie scientifique. On a pu voir que la terminologie de la Trisomie 21 a évolué au cours de temps grâce à la découverte de l'origine de cette pathologie. On a observé qu'elle est due à la présence d'un chromosome 21 supplémentaire. De plus, cette modification du code génétique entraîne des symptômes physiques et mentaux, ainsi que des troubles du comportement plus ou moins importants qui dépendent du degré de la maladie. Nous avons enfin étudié les recherches faites par les scientifiques pour tenter de soigner les personnes atteintes de Trisomie 21, tout du moins améliorer leurs conditions de vie.

 

          Dans un second temps, nous nous sommes penchés sur la partie de l'intégration sociale des personnes possédant le Syndrôme de Down. Nous avons analysé la vie quotidienne des trisomiques, notamment à l'école et au travail, puis à travers des témoignages, nous avons constatés quel était le regard, la perception des personnes qui sont ou ne sont pas concernés par la maladie. Pour finir, on s'est penchés sur les nombreuses actions qui sont menées pour faire évoluer le regard mais aussi les traitements ou soins qui sont apportés aux personnes trisomiques.

 

          Nous avons donc apprit beaucoup de choses au cours de nos démarches, comme le fait que les moyens mis en œuvre pour intégrer les personnes présentant le Syndrome de Down sont nombreux ( CLIS, ULIS, CAT, ESAT, associations..). C'est un élément qui nous a vraiment agréablement surpris, et c'est grâce à cela que nous pouvons dire que les sujets atteints de Trisomie 21 sont véritablement intégrés à notre société. De plus, par le biais de la recherche sur cette pathologie qui est à son apogée ainsi qu'à l'avancé scientifique, les mentalités ont énormément évoluées, ce qui a permis aux personnes trisomiques d'être moins cataloguées comme anormales.

 

 

          On peut alors se demander si cette intégration est également retrouvée chez les personnes atteintes d'autres handicaps ?